MAISONROZE_BLANC

Soyeux depuis 1660, spécialiste du sur-mesure

Remplissez le formulaire ci-dessous pour recevoir la présentation de nos collections.

Profession* Décorateur (Decorator) Architecte d’intérieur (Interior designer) Tapissier (Upholsterer) Tapissière – Courtepointier (Quiltmaker) Autres - à préciser (Other)

10 rue Frédéric Joliot Curie

37550 Saint-Avertin

[email protected]

+33 (0)2 47 28 02 15

soierie roze tours

| HISTOIRE | SAVOIR-FAIRE  | CONNAISSANCE DU TEXTILE et de la SOIE EN TOURAINE

TOURS CITE DE LA SOIE a comme objectifs :

- Faire connaître l'activité textile et soyeuse de Tours, passé, présent et avenir.

- Permettre à chacun de découvrir le monde du tissage et des étoffes, au travers de conférences, ateliers, expositions, visites ou voyages.

- Enrichir, conserver, mettre en valeur et montrer la riche collection qu'elle a réunie.

pinceau site orange.png

Nous contacter

[email protected], notre newsletter.

On vous donne des informations très bientôt.

  • Disponibilité marque et société en France
  • Disponibilité marque, société et nom de domaine, en France
  • Disponibilité d'une marque et son logo en France
  • Base Marques
  • Bulletins officiels de la PI (BOPI)
  • Prédiagnostic PI
  • Master Class PI
  • Le palmarès des déposants de brevets
  • Rapports annuels
  • Propriété Industrielle - Bulletin Documentaire (PIBD)
  • Académie INPI
  • Calendrier des formations
  • Copie officielle d'une demande de brevet français
  • Copie certifiée de document du RNCS
  • Enveloppe Soleau
  • Dépôt de marque en ligne
  • Renouvellement de marque en ligne
  • Dépôt de brevet en ligne
  • Paiement des annuités en ligne
  • Dépôt de dessins et modèles en ligne
  • Prorogation de dessins et modèles
  • Dépôt d'indication géographique
  • Inscription aux registres PI en ligne
  • Accès au Guichet unique
  • Services aux mandataires
  • Comment signer sa formalité sur le Guichet unique ?
  • Qu'est-ce qu'une formalité d'entreprise ?
  • Les différents statuts et formes juridiques de l’entreprise
  • Personne physique et personne morale : définition
  • Focus sur le micro-entrepreneur
  • Créer son entreprise seul
  • Créer son entreprise à plusieurs
  • Modifier son entreprise individuelle ou sa société
  • Cesser une activité
  • Les dépôts d'actes et modifications sans formalités
  • Annuaire des activités et professions réglementées
  • Les activités réglementées
  • La reconnaissance de qualification (professions réglementées)

INPI.fr

MAISON ROZE tisse son savoir-faire depuis 360 ans

soierie roze tours

  • Pouvez-vous nous parler de l’activité de votre entreprise en quelques mots ?

Arnaud Lebert  : Installée à Tours depuis sa création en 1660 par Jehan-Baptiste Roze, la maison ROZE tisse des étoffes d’ameublement et soieries : tentures, rideaux, fauteuils, coussins …. Une histoire qui dure et qui fait de nous la plus vieille manufacture de soie en France .

C’est en 2018 que j’ai repris le flambeau de l’entreprise, après que douze générations de Roze se soient succédées, perpétuant ainsi son savoir-faire ancestral à travers ses 25 métiers à tisser.

Aujourd’hui, nous avons pour ambition de relancer la filière de la soie en France, et plus particulièrement en Touraine, en commençant par planter de nouveaux mûriers, dont les feuilles fraiches nourrissent le ver à soie. Pour préserver la diversité des variétés de mûriers, nous avons par ailleurs initié un projet de création d’un Conservatoire. C’est au Château d’Amboise qu’il prendra racine,  en lien avec la lettre de Louis XI signée à Amboise le 12 mars 1470 par laquelle il décide l’implantation de première la manufacture de soie à Tours après le refus des lyonnais d’accueillir les artisans italiens.

Bien que l’histoire et le cœur de métier de  MAISON ROZE soient essentiels, nous nous tournons de plus en plus vers l’innovation. D’ici quelques années, nous espérons pouvoir tisser à partir de matières végétales, comme la fibre tirée de la tige de tomate ou de rosier.

Nos créations habillent notamment des châteaux, des hôtels, des décors de films, et des  propriétés de particuliers. Nous collaborons avec des décorateurs, tapissiers, architectes d’intérieur… mais nous ne connaissons pas souvent nos clients finaux. Nous réalisons 80 % de notre chiffre d’affaires à l’étranger, principalement aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.

  •   Que représente pour vous cette nomination aux Trophées INPI ? 

A. L : Cette nomination aux Trophées est une grande fierté pour toutes nos équipes. C’est une reconnaissance de notre savoir-faire autour d’une marque : MAISON ROZE.

Nous sommes encore trop méconnus du grand public, ce qui est surprenant compte-tenu de notre histoire et de notre longévité, mais nous travaillons depuis deux ans pour renforcer notre identité. Que l’INPI nous identifie est une preuve que ce travail paye, que nous commençons à rayonner à plus grande échelle.

  • Vous êtes finaliste dans la catégorie Marque, en quoi votre stratégie de propriété industrielle est-elle un levier de croissance

A. L : Historiquement, nous fabriquions des tissus pour des éditeurs, qui vendaient nos créations en leur nom. Aujourd’hui notre objectif est de devenir un acteur majeur et à part entière de la décoration d’intérieur, en France et à l’international, grâce à notre savoir-faire d’exception. Pour y parvenir, il est primordial d’avoir une marque forte, définie et reconnue, et cela passe par sa protection. En protégeant notre marque, nous protégeons notre histoire, ce que nous sommes et ce que nous faisons.

Depuis ce changement de cap il y a deux ans, nous constatons déjà des résultats. Nous avons beaucoup plus de demandes via notre site Internet et avons été récompensés par deux prix : le Top des Entreprises et le Top des Tops lors du Top des Entreprises de l’Indre-et-Loire.

  • Avez-vous un conseil à donner aux entrepreneurs ?

A. L : Déposez des titres de propriété industrielle, mais déposez-les bien. J’ai trop souvent réalisé des dépôts dans la précipitation. Or il vaut mieux prendre le temps, pour ne pas déposer n’importe comment, car cela représente un risque de n’être protégé que partiellement.

Mon accompagnement par un expert de l’INPI m’a permis de prendre conscience de l’importance de faire les choses dans l’ordre et correctement. Faites-vous accompagner, conseiller, prenez le temps de vous renseigner et de faire une recherche d’antériorité. Votre protection n’en sera que meilleure.

Accompagnée par l’INPI depuis l’arrivée de M. Lebert à la tête de Maison Roze en 2018, la société bénéficie d’un suivi régulier, notamment pour l’aider dans sa démarche de structuration de la filière soie en Touraine. Fin 2019, un projet d’indication géographique (IG) est né. L’INPI Centre Val de Loire suit de près ce dossier qui pourrait devenir la première IG de la région.

Damas murale

Retrouvez ci-dessous le lien vers votre feuille de route publique

soierie roze tours

  • A la une , Dossier du mois

Soieries Roze : une histoire tissée au fil des années

Image de Rédac

  • Publié le : mai 26, 2021

soierie roze tours

Retrouvez le dossier principal du magazine papier 37° n°6 printemps-été 2021 nommé « Trésors de Touraine »

Quand on évoque la Touraine, ses savoir-faire et ses trésors, il y a de fortes chances qu’instinctivement viennent à l’esprit les vins et autres plaisirs gustatifs : rillons, macarons de Cormery, Nougat de Tours, andouillettes de Vouvray… La Touraine, terre de Rabelais, c’est en effet avant tout l’hédonisme et le plaisir de la bouche, non sans un certain raffinement, symbole lui-même d’un savoir-vivre à la Française.

Mais la Touraine, c’est aussi des savoir-faire artisanaux reconnus. De la petite boutique à la manufacture prolongeant la tradition, la Touraine regorge de talentueux passionnés qui excellent dans leur domaine et font figure à leur niveau d’ambassadeurs d’une Touraine raffinée et élégante.

Valorisation des fibres végétales, filière de la soie 100% locale, résidence d’artistes… Pour conserver son image de marque, la Maison Roze, manufacture familiale spécialiste des tissus d’ameublement haut de gamme depuis 360 ans, mise sur l’innovation.

Clac, clac, clac… Ce matin de mars à Saint-Avertin, le son étourdissant des métiers à tisser résonne dans les 1 000m² d’atelier des soieries Jean Roze. Face à leurs quelque 14 000 fils tendus, deux tisseuses vérifient qu’aucun d’eux ne se casse et changent régulièrement les canettes, sorte de petits cylindres où l’on enroule le fil de trame que l’on positionne ensuite dans une navette afin d’être tissé. « Le travail est très minutieux, il demande beaucoup d’attention » , assure Arnaud Lebert, directeur de la manufacture.

Maison Roze mars 21

À son arrivée en 2018, le quinquagénaire sauve cette manufacture « romantique » , comme il aime la définir, de la liquidation judiciaire. Il souhaite y réintégrer certaines valeurs comme l’intuition, l’émotion et l’humanité. Il revoit alors l’organisation, contrôle les stocks, range et, surtout, tente de remotiver celles qui sont désormais ses salariées. Des salariées qu’il place au cœur de l’entreprise et sans qui, il le sait, ces tissus d’exception n’existeraient pas. « J’essaie de ne pas jouer au patron et de voir comment les intégrer aux décisions. Je veux prendre soin des employées et les protéger car le savoir-faire c’est elles qui l’ont. Quand on a une histoire aussi importante que celle de Roze, il faut mettre de l’humanité. Nous devons leur faire prendre conscience qu’elles font des produits d’exception et qu’elles possèdent ce savoir-faire. Malheureusement, certaines ne s’en rendent toujours pas compte. » Chez Maison Roze, spécialisée dans le tissu d’ameublement haut de gamme pour des fauteuils, tentures ou rideaux, les employées créent jusqu’à dix mètres de tissu par jour.

Maison Roze mars 21

« Je crois que quand on s’appelle Roze, on peut tout se permettre ! »

Pour comprendre l’histoire de la soie en Touraine, il faut remonter dans le temps. Au XVe siècle, Louis XI ne souhaite plus acheter la soie en Italie, qu’il juge trop chère. Il souhaite alors monter la première manufacture française à Lyon mais les habitants s’y opposent, estimant que cette installation risque de casser le business des marchands. C’est ainsi que la première manufacture royale de soie s’implante à Tours, en 1470. Près de deux siècles plus tard, en 1660, Jehan-Baptiste Roze crée son entreprise de soie, qui restera dans la famille sur douze générations. À cette époque, la moitié de la population tourangelle vit de cette activité.

Perpétuer un savoir-faire ancien

Maison Roze est aujourd’hui l’une des dernières soieries françaises dédiées aux tissus d’ameublement. Il en existe deux autres à Lyon. Ses quatorze salariées, qui ne compte qu’un seul homme (il tient, pour cette raison, à ce que nous utilisions le féminin), perpétuent un savoir-faire ancien dans les deux ateliers de production, à Saint-Avertin et Chambray-lès-Tours. Historiquement, le tissage était réalisé à la main puis au métier à bras. Il se fait aujourd’hui sur des métiers de type Jacquard qui permettent de recréer des modèles anciens grâce à des systèmes de cartes perforées. « Nous avons une cinquantaine de références de tissu utilisées régulièrement. Nous pouvons reproduire de nombreux motifs qui datent du XVII e ou du XX e siècle. Et, nous en avons une centaine aux archives. Il est également possible d’en créer de nouvelles » , explique Arnaud Lebert. La société travaille en majorité avec des prescripteurs décorateurs, architectes d’intérieur ou tapissiers mais aussi avec des éditeurs qui utilisent les tissus Roze pour leur propre marque. Les ventes sont réalisées à 80% à l’étranger, principalement au Royaume-Uni et aux États-Unis mais aussi dans l’Union Européenne, en Russie ou au Proche-Orient. L’entreprise peut se targuer d’avoir créé des tissus visibles dans de prestigieux endroits, tels que Buckingham Palace à Londres, ou certains châteaux de la Loire (Villandry, Chambord, Azay-le-Rideau…).

Maison Roze mars 21

Après 360 ans d’existence, cette manufacture historique et familiale est désormais tournée vers l’avenir. Si elle veut conserver son image de marque et poursuivre son ascension, son dirigeant devra faire preuve d’audace. Et ça, Arnaud Lebert n’en manque pas. « Il y a des membres de la famille Roze qui avaient la capacité d’innover. Si nous ne le faisons pas aussi, nous mourrons de nouveau. Il y a plein de choses à faire : nous devons nous remettre en cause, nous ouvrir à l’extérieur… Je crois que quand on s’appelle Roze, on peut tout se permettre ! » Le natif de Saint-Aignan-sur-Cher (41) n’a qu’une crainte : ne pas réussir à réaliser ses nombreux projets. « C’est pour ça que je suis pressé » plaisante-t-il. Il a par exemple décidé de replanter des mûriers dans le département, dans l’espoir de relancer la filière de la soie en Touraine. « Pour le moment, la soie vient de Chine, via l’Italie » , admet le directeur. Il reçoit ensuite la matière première déjà teinte, en bobine ou en écheveau. Soucieux du sourcing de ses produits, il aimerait donc recréer une filière de la soie 100% locale, comme il en existait une auparavant. « Il faudra quelques années avant que cela se fasse. Il y a une réalité économique et relancer une filière n’est viable que si l’on utilise le mûrier pour en faire autre chose. » C’est pourquoi il prévoit notamment de créer une lotion à base de feuilles de mûrier qui devrait s’appeler « Cueillette de la soie ».

Maison Roze mars 21

Valoriser les filières végétales et respecter l’environnement

Arnaud Lebert mise par ailleurs sur la valorisation des fibres végétales. C’est pour cette raison que la société utilise le lin, le coton, le chanvre ou la laine pour ses créations. Le directeur n’exclut pas non plus d’utiliser les fils issus des tiges de tomates. Une idée pour laquelle il crée le Tomato Lab, en lien avec le château de la Bourdaisière à Montlouis. Dans cette continuité, l’entreprise se veut plus responsable et respectueuse de l’environnement. « Le textile est l’une des industries qui polluent le plus. L’idée est de voir comment nous pouvons donner du sens aux déchets que l’on génère. Pour cela, Maison Roze doit s’engager dans l’anti gaspi et le recyclage. Nous devons réussir à donner plus de valeur à nos déchets qu’au produit de base , indique le directeur. Nous pourrions par exemple imaginer créer un béton ciré décoratif intégrant des chutes de fils de soie. »

De cet esprit imaginatif découle l’envie de lancer une résidence d’artistes, dont le lieu reste encore à définir. « L’objectif serait d’emmener de la créativité. Comment créer de nouveaux tissus, de nouveaux bétons, de nouvelles pièces ? » Arnaud Lebert souhaite également ouvrir des concept stores au cours de l’année. À Paris, pour commencer. Et pourquoi pas à Tours, pour ensuite les décliner à l’étranger. Il mentionne alors Londres, New York, Shanghai et Dubaï. « Ce ne serait pas qu’un endroit où l’on vend des choses mais aussi un lieu de vie culturel et de création » , commente-t-il. Après avoir créé le prix Roze, récompensant le meilleur décorateur et ensemblier de cinéma de l’année, il envisage enfin de proposer des visites de l’entreprise, pour mieux la faire connaître en Touraine. « Nous sommes connus dans le monde entier mais pas localement » , constate le dirigeant. Et de conclure : « Je pense qu’il faut ouvrir cette entreprise et ne pas rester en vase clos. Les meilleurs ambassadeurs de Roze, ça reste les Tourangeaux. »

Photos : Claire Vinson

soierie roze tours

La météo présentée par

soierie roze tours

Suivez-nous

Inscription à la newsletter, vous pourriez aussi aimer.

soierie roze tours

Une rentrée tout en maîtrise à L’Université de Tours

soierie roze tours

Saint-Paterne-Racan : à la découverte d’un verger écoresponsable avec Carole et Thierry Moisy

soierie roze tours

Le club de natation EN Tours boosté par les Jeux Olympiques

[email protected]

06 50 80 44 61

Votre publicité sur 37 degrés :

soierie roze tours

02 44 84 04 56

© 2024 37 degrés – SAS Indéloire Une création Happy Média . Tous droits réservés.

Alors suivez-nous sur les réseaux sociaux !

Et découvrez info tours .

La renaissance de la soie made in France

Repreneur en 2018 des soieries Roze, fondées à Tours (Indre-et-Loire) en 1660, Arnaud Lebert va progressivement réintroduire l’élevage des vers à soie via la culture de mûriers blancs en Val de Loire. De sorte que ses ateliers tissent une soie française d’ici à 2030.

Arnaud Lebert, qui a repris la Maison Roze en 2018 , veut planter cet hiver 3 000 mûriers blancs dans la région. LP/François-Xavier Rivaud

Ce jour-là, les 25 métiers à tisser de la Maison Roze, l’une des plus anciennes manufactures artisanales de la soie française, tournent à plein régime. Bientôt, les tisseuses et couturières prendront entre leurs mains de la soie produite dans le Val de Loire, comme jadis.

Arnaud Lebert, qui a repris en 2018 ces ateliers de prestige fondés à Tours (Indre-et-Loire) en 1660 par Jean Roze, n’a qu’une idée en tête : réintroduire la sériciculture , l’élevage des vers à soie, qui a progressivement disparu dans l’Hexagone depuis la fin du XIXe siècle. Avec le concours de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), cet ancien publicitaire revenu à l’artisanat en hommage à son père — qui exerçait la profession d’ébéniste — va planter cet hiver 3 000 mûriers blancs (Morus alba), une variété d’arbres à vers à soie, dans la région.

Cette entreprise de reboisement a déjà commencé chez lui au château de La Lienne, à Saint-Maur (Indre), qu’il a récemment acquis pour accueillir un laboratoire dédié au végétal.

Objectif 10 000 mûriers dans toute la région

« C’est une première étape. Je serais très fier de tisser une soie du Val de Loire. Dans toutes les activités liées au végétal, je crois très fort à la notion de terroir comme dans la viticulture. En fonction de la nature des sols, on peut avoir des soies très différentes avec des propriétés particulières », expose l’entrepreneur de 55 ans, qui a créé un conservatoire du mûrier Morus alba au château d’Amboise (Indre-et-Loire). C’est depuis cette résidence royale qu’en 1470, Louis XI a fait venir les premiers soyeux italiens avec l’ambition de faire « de la Touraine la première capitale de la soie française ».

D’ici à 2025, Arnaud Lebert espère couvrir au moins 150 ha de 10 000 mûriers. C’est pourquoi, il a réuni dans cette aventure de nombreux propriétaires de châteaux et de demeures historiques de Sologne, de la Brenne ou de Touraine. Des plantations sont attendues à Cheverny (Loir-et-Cher), Luynes et à Chanceaux-près-Loches (Indre-et-Loire), et peut-être plus tard à Chaumont-sur-Loire et à Chambord (Loir-et-Cher). Au total, il a déjà déboursé 50 000 euros.

Anticiper les conséquences du contexte géopolitique incertain

Les prochaines plantations lui coûteront au moins le double. Cet investissement sera amorti par le développement d’autres filières de valorisation : « Les feuilles de mûriers peuvent alimenter le bétail, tandis que les mûres sont utilisables en gastronomie et la sericyne, qui entoure le cocon, a des propriétés cosmétiques », détaille le PDG de la Maison Roze, qui fournit de prestigieux tapissiers (Ateliers Joure), décorateurs d’intérieurs et éditeurs de tissus (Claremont) et qui réalise 80 % de son chiffre d’affaires (environ 1 million d’euros en 2023) à l’export.

Achetant la soie en Chine via des importateurs italiens, Arnaud Lebert anticipe aussi les soubresauts et les conséquences du contexte géopolitique incertain : « Le but n’est pas de travailler en autarcie, mais je crois qu’il n’est plus viable de continuer d’acheter de la matière première à l’autre bout du monde ».

soierie roze tours

Indre-et-Loire  

De plus en plus tenté par les panneaux « à vendre » qu’il apercevait sur des maisons lors de ses tournées, Romain s'est décidé à rejoindre un réseau immobilier. Le Parisien-DA/Istock

Notre sélection

À la place du QG du Hezbollah se trouve désormais un cratère géant de 30 m de profondeur. EPA/EFE-MaxPPP/Wael Hamzeh

Logo

Tours, Cité de la Soie

Conserver, pérenniser et faire connaître le patrimoine soyeux tourangeau.

Nos actions en cours

Adhérer à nos activités 1

Bannière de l'action

adhésion à Tours, Cité de la Soie

De 40€ à 60€

Achetez nos produits 1

Boutique en ligne

Qui sommes-nous ?

L'association Tours, Cité de la Soie (TCS) a été créée en 1987 par une commission de la Jeune Chambre économique de Tours et les soyeux de Tours, Soieries Jean Roze, le Manach et Bassereau, 

pour faire connaître la soierie tourangelle, créer un musée conservatoire ... 

Jean-Michel Barbier en a été le premier Président.

Puis, Jacques Bassereau a pris sa retraite en décembre 1988 et a donné à l'association du matériel, des métiers dont le métier de haute lisse à retours du XVIIIème siècle (voir les actes du Colloque de 2000) et de très nombreux échantillons et réalisations de passementerie.

Elle a également comme objectifs :

De faire connaître l’activité soyeuse de Tours passé, présente tout en se projetant dans l’avenir. 

De permettre à chacun de découvrir le monde du tissage et des étoffes, au travers de conférences,

ateliers, expositions, visites, voyages...

De développer des échanges avec d’autres centres textiles, musées spécialisés ou autres associations de promotion du textile.

De continuer à protéger le patrimoine textile et matériel à travers ses collections (acquisitions, dons...) et à le promouvoir par des expositions temporaires en attendant de disposer d'un lieu d'exposition permanente.

Elle organise, en principe tous les deux ans un colloque. Passés et à venir sont des moments d'échanges privilégiés sur le thème de la soie en Touraine, des textiles en général, de leur technique ou sous un angle artistique.

L’association Tours, Cité de la soie comprend environ 300 adhérents de Touraine ou d’ailleurs, amateurs ou professionnels, curieux ou passionnés d'histoire, de textile, de savoir-faire... 

Son conseil d’administration comprend des membres élus et des membres de droits dont le rôle initial fut de soutenir l’association par un apport scientifique.

Le Monde Des Artisans

Formulaire de recherche

  • » Me connecter
  • » Créer un compte

Soieries Jean Roze : une histoire tissée par 12 générations

soierie roze tours

L’objet exposé ? Un tapis de selle de cheval dont l’originalité est d’être respectueuse de l’environnement puisqu’il est constitué de matières recyclées (chute de fils de soie, de cheveux et de crin de cheval). Tissé de soie bleu et or, orné d’une fine décoration florale, il représente les savoir -faire de la maison Roze mais aussi l’histoire de notre département, l’Indre-et-Loire. C’est à Tours qu’en 1470 Louis XI a implanté la première manufacture de soie du royaume, bien avant Lyon !

soierie roze tours

"Avec ce tapis de selle à cheval, nous avons respecté le cahier des charges de l’exposition qui, hormis le principe du 'fabriqué en France', attendait des entreprises un engagement éco-responsable." Arnaud Lebert

Ça fait quoi d’être exposé à l’Élysée ? C’est un très grand honneur, d’autant que nous sommes la dernière entreprise tourangelle à détenir le savoir-faire de la culture de la soie.

Être artisan aujourd’hui ? Mes parents étaient ébénistes. Je soutiens vraiment ce secteur car ce sont les artisans qui transmettent des savoir-faire ancestraux comme les nôtres, rares et de haute qualité. Pour ma part, je suis associé dans plusieurs entreprises artisanales (métiers de bouche – confiturier, glacier, distillateur -, cosmétique…). Toutes ont en commun la valorisation du végétal. Et c’est ainsi que, pour la Maison Roze, nous allons replanter des mûriers au printemps, pour relancer la culture de la soie ! Toutes ces actions donnent du sens au produit final.

Vous êtes également Entreprise du Patrimoine Vivant ? C’est une reconnaissance, un soutien mais également un moyen de nous faire reconnaître des nouveaux contacts que nous pouvons établir à l’étranger, quand nous nous présentons à eux.

Vos projets en 2020 ? Il va nous falloir perpétuer notre savoir-faire ancestral en s’ancrant dans les préoccupations présentes et à venir. D’où le fait de nous concentrer sur les fibres végétales et le recyclage. Un parti pris fort que nous allons nous concentrer à tenir. Le fait de présenter un tapis de selle de cheval lors de cette exposition n’était pas anodin non plus. Orienter nos actions de communication vers le monde équestre va nous permettre de capter une communauté de prescripteurs ailleurs que sur des salons professionnels.

maisonroze.fr - Facebook

  • Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier un commentaire

Dernières actus

Votre magazine.

Le Monde des Artisans N°162

Votre agenda

Batimat 2024 à paris expo, salon l'artisanat c'chartres, le concept store empreintes des métiers d'art à paris, les dossiers.

soierie roze tours

Les articles les plus lus

soierie roze tours

La micro-entreprise : notre dossier complet !

Lettre d'information.

Inscrivez-vous pour recevoir la lettre d'information du Monde des Artisans.

S'abonner   Se désabonner

Le Monde des Artisans

Bienvenue sur le site de L'artissage

Ourdir, enrouler, enlisser, empeigner, tramer, tisser… Un peu de technique pour dépasser la technique et créer en toute liberté.

soierie roze tours

À quand un Musée Vivant de la Soie à Tours ?

  • Nouvelles Fraîches

À Tours, il reste seulement deux manufactures de soieries alors que cette ville était la première, dans ce domaine, bien avant Lyon… Cela remonte à 1470, lorsque Louis XI a décrété l’implantation d’une fabrique de soie à Tours pour concurrencer les importations d’Italie. Depuis cette date, l’art de la soie à Tours s’est perpétué sans interruption. L’invention du métier Jacquard, en 1801 a donné beaucoup de lustre à cette industrie. Malgré les deux guerres et le krach de 1929, la fabrique de soie tourangelle a réussi à se maintenir au plus haut niveau. Aujourd’hui, il reste deux entreprises spécialisées dans le tissage des soieries d’ameublement. L’une d’elle est dirigée par Antoinette Roze, la Société Jean Roze , du nom de son père. 

Logo TCSoie[1]

Métier de Haute lisse à retours

Antoinette Roze montrant les soieries Le Manach récemment achetées à Drouot, dont une par Hubert de Givenchy, qui l'a offerte à l'association de Tours.

Depuis de nombreuses années, Antoinette Roze collectionne des soieries anciennes fabriquées à Tours , elle courre les ventes aux enchères. La collection de « Tours, Cité de la Soie » est désormais très importante, grâce notamment au mécénat de M. Hubert de Givenchy. 

Cela mériterait bien un musée vivant, non ?

Un bel hommage bien mérité : le Figaro a présenté au mois d’Août une série d’articles consacrés aux entreprises Hénokiennes, entreprises de plus de 200 ans et qui sont toujours détenues par la famille fondatrice. Parmi celles-ci, l’entreprise de soieries Jean Roze :

La soie de Tours habille les rois - Article du Figaro du 26 août 2015

Tours Cité de la Soie

L'association

  • Actualités 2015
  • Collections
  • Publications
  • Contact - Adhésion

Edito 

Françoise jacquet    , création, buts et fonctionnement de l'association.

Clair et Net

des goûts, des couleurs, des souvenirs des images, des talents, du lien, de l'amitié, du partage, ... contre l'adversité faisons blog !

Soieries Jean Roze : volonté d'excellence

soierie roze tours

2 commentaires:

 alt=

Bonjour, Etudiante en BTS Animations et Gestions Touristique Locale, je présente l'option "Patrimoine Régional" en Région Centre l'année prochaine. Pour le thème "Expression socioculturelle des territoires régionaux", j'ai choisi de présenter "l'artisanat d'art". Pourriez-vous me faire parvenir de la documentation relative à ce sujet, en ce qui concerne la soierie de Tours ? Je vous remercie pour votre aide ! Mes coordonnées sont les suivants : Fannie Maubert 25 rue Danton 37000 TOURS Cordialement, Fannie Maubert

Bonjour, je vous conseille de vous adresser plutôt directement à l'association "Tours, Cité de la Soie" : ils pourront surement vous aider. Amicalement http://www.tours-cite-de-la-soie.com/asso.php

The Crazy Tourist

Home » Travel Guides » France » 15 Best Things to Do in Tours (France)

15 Best Things to Do in Tours (France)

It’s no mystery that Tours is a favourite base for people discovering the Loire Valley’s exalted châteaux.

Villandry, Chenonceau and Amboise are moments by car, and with the help of the Loire à Vélo network you can visit them on two wheels with ease.

But you may find that if you delve a little more into Tours’ history and attractions, it could be difficult to leave the city at all.

In the centre are timber houses and renaissance mansions on car-free streets, and museums that draw you into the city’s medieval past.

There are vineyards welcoming inquisitive oenophiles in the countryside and both the waters and banks of the Loire invite you to go wherever your sense of curiosity leads.

Lets explore the best things to do in Tours :

1. Tours Cathedral

Tours Cathedral

Even by the glacial speed of construction in the middle ages, Tours Cathedral took a long time to be completed.

Building began in 1170 and wouldn’t be finished until 1547, but this means we’re met with a perfect summary of the evolution of gothic art.

The ensemble of original 13th-century stained glass windows in the ambulatory chapels and above the choir is one of the finest in France, and seems to generate its own light.

The cathedral has information panels giving you the meaning behind each image.

The marble renaissance tombs of King Charles VIII and Anne of Brittany’s children are also moving, as both died in infancy.

2. Musée des Beaux-Arts de Tours

Musée des Beaux-Arts de Tours

The riches from Cardinal Richelieu’s 17th-century campaign against the Huguenots and the art seized from abbeys during the Revolution all ended up at Tours’ stellar museum of fine art.

Because of their religious source there’s a good body of Italian gothic primitives from the 14th and 15th centuries, while the two renaissance paintings by Andrea Mentegna are regarded as masterpieces.

You’ve got over a thousand artworks to get through, with sculpture by Rodin, Flemish and Dutch painting by Rembrandt and Rubens, and Impressionism by Monet and Degas.

3. Tours Botanical Garden

Tours Botanical Garden

The city’s municipal garden has a bit of a troublesome setting, between the Loire and Cher, which made it susceptible to flooding in the past, with two devastating inundations in the mid-19th century that filled the greenhouses with two metres of water.

Even after being hit by bombs in the Second World War there isn’t the slightest hint of a troubled past at these serene gardens.

On your walk you may notice some trees you haven’t seen before, like the Chinese empress tree, ginkgo biloba and the endangered dawn redwood.

The animal park is from 1863 and has farm animals for kids to bond with, as well as more exotic species like wallabies.

4. Le Vieux Tours

Place de Plumereau

Like all the best historic city centres the historic buildings on the pedestrian streets around Place Plumereau aren’t sterile museum pieces but vibrant cornerstones of local life, used as shops, restaurants and bars.

Place de Plumereau is at the nerve centre of one of the largest conservation areas in Europe, with renaissance mansions boasting sculpted reliefs or cantilevered timber houses, going strong for hundreds of years.

If you’re OK with everybody knowing you’re a tourist, jump aboard the little train that departs every hour from Place Plumereau in summer.

5. Musée du Compagnonnage

Abbey of Saint-Julien

In the 16th-century Dormitory at the former Abbey of Saint-Julien is a museum devoted to a French workers’ movement that dates back to medieval times.

Roughly, the Compagnons du Tour de France is like a guild of journeymen that preserves historic trades and educates young people about them as part of an apprenticeship.

To complete the apprenticeship and become a “companion” a craftsman had to create a masterpiece for whatever discipline he worked in.

And these dumbfounding creations are presented at the museum, in all kinds of different disciplines, like metalwork, tailoring, shoemaking and woodcarving.

6. Hôtel Goüin

Hôtel Goüin

What may be the most beautiful of Tours’ many old building has just come through a long restoration and is open to the public once more.

Hôtel Goüin is an early-renaissance palace on Rue du Commerce, with a balustraded porch and the sort of loggia in which you might expect to see Juliet calling for Romeo.

During the restoration they unearthed fragments of an older building from the 1100s, with four arches and a well, which are on show.

You might just want to stop for a photo of that magnificent facade, but there’s an archaeological museum inside with artefacts from Roman times up to the 1800s.

7. Halles de Tours

Halles de Tours

Billed as the “Belly of Tours” (ventre de Tours), the city’s indoor market may not be France’s largest, but it’s a gastronome’s idea of heaven.

You may even want to bring your camera or have your phone at the ready, because the cheese, charcuterie, seafood and in-season fruit and vegetable counters are presented with real flair.

If you’re stuck for gift ideas then markets like this tick the box as they’re stocked with all the best from the region.

At Tours that entails wine from the Loire Valley and luxury chocolate.

The city is one of France’s chocolate capitals, and every years holds the Salon du Chocolat de Tours at the Centre de Congrès Vinci.

Come for lunch too: The oyster bar shucks your oyster as you go.

8. Jardin des Prébendes d’Oé

Jardin des Prébendes d'Oé

During the French Second Empire from the mid-1800s English-style parks like this one popped up in provincial cities across France.

This was a spot for urban families to take promenades, kids to play and for the city to put on outdoor concerts at the park’s gazebo.

There’s less of the formality of French parterres, as paths weave through tulip flowerbeds and  copses of lime, plane, cedar, chestnut and lofty redwood trees.

So if you could do with a moment of repose take a wander by the pond and pause for a tea or coffee at the kiosk.

On warmer days you could load up on cheese and charcuterie at the market and have the perfect French picnic.

9. Église Saint-Julien de Tours

Église Saint-Julien de Tours

The predecessors of this  12th-century abbey were wrecked by the Normans in the 9th century and then in a war between the feudal houses of Blois and Anjou in the 10th century.

But miraculously the building that followed has survived everything from the French Revolution to the Second World War.

It was part of a long-gone abbey, and the garden next to the church is where the cloister used to be, while the Musée de Compagnonnage occupies the old dormitory.

10. “Toue” River Cruises

Toue River cruises

Commercial craft floated along the Loire and Cher since antiquity, hauling people, wine, silk, lumber, salt and all sorts of other cargo up and down these rivers.

Because the waterways can get very shallow they used flat-bottomed sailboats called “toues”, and you can too! Toues can carry between 12 and 30 passengers for hour-long trips, or even romantic dinner cruises in the evening.

Their skippers know these waters and banks like the backs of their hands: And with the deck as your balcony, they’ll shed light on the Tours’ river trade, its many colourful characters and perils.

11. Loire à Vélo

Loire à Vélo

If you had to picture some quintessentially French holiday activities, a bike ride next to the Loire with a backdrop of gentle vine-striped hills and châteaux must be one of the first that comes to mind.

About 150km of the of the Loire à Vélo cycle trail’s totalling 800km are in the Touraine region.

The route is clearly-marked, easy -going because it never leaves the riverside and convenient as there are dozens of hire stations along the way.

You could give yourself set destinations like Amboise or Villandry, which are both reachable in about an hour.

Or make more of an adventure of it by going further afield and spending the night at the inns on the route that are happy to accommodate cyclists.

12. Guinguette sur Loire

Guinguette sur Loire

On the left bank of the Loire, just by Pont Wilson, is where Tours’ “Guinguette” takes place from May to September.

It isn’t officially summer in Tours until this outdoor café by the river is bustling every evening with locals and tourists at the bar terrace, taking part in dance lessons, enjoying concerts or watching movies at the outdoor cinema.

Tours is a student city so the atmosphere is always warm and energetic.

The location is wonderful, under willow trees and string lights, with the river rolling past.

And every year there Guinguette has something new on the schedule.

13. Wine and Gastronmic Visits

Touraine Sauvignon

If you’re a wine-lover you’ve come to the right place.

There’s an absurd amount of AOCs nearby: A dozen within an hour, and five bordering the city.

The diversity will make your head spin more than the wine itself, with the reds of Touraine-Chenonceau, the whites of Touraine Sauvignon and rosés made in Touraine noble joué.

When it comes to precious foodstuffs there’s a saffron market in Preuilly-sur-Claise and a seasonal truffle market at Marigny-Marmande.

The local cheese, Sainte-Maure-de-Touraine is known to all for its cylindrical shape and the straw that pierces it through the centre.

To know more, pay a visit to the dairy at Les Passerelles or the child-friendly goat farm, Cabri au Lait, which makes Sainte-Maure but also has a petting zoo for the little guys and girls.

14. Château de Villandry

Château de Villandry

It would be criminal to visit Tours and not call in at one of the abundant château in the region.

Tours is touted as a gateway for these sensational pieces of French royal or noble heritage.

You can reach Villandry in 20 minutes, and it’s one of the finest.

The gardens are the showstopper at this château.

They were restored at the turn of the century by the Spanish doctor Joachim Carvallo.

He conceived several terraces of renaissance gardens, all with precisely trimmed boxwood hedges in joyous geometric configurations.

There’s a water garden, labyrinth, sun garden, ornamental garden with high hedges, but the most astounding is the formal medieval kitchen garden, all in neat plots.

15. Château d’Amboise

Château d'Amboise

The home of Francis I and most of the French royalty in the 16th century is a 20-minute car or train ride to the east.

The château had its heyday in the renaissance period after Charles VIII turned it from a fortress into the Loire valley’s first Italian-style palace in the late-1400s.

In 1516 Francis I invited Leonardo da Vinci to live and work in Amboise, and the polymath’s home at Clos Lucé was actually connected to the Château d’Amboise by underground passageways that you can discover today by prior arrangement.

Da Vinci died here in 1519 and is buried at the Chapel of Saint-Hubert at the Château.

The gardens are embellished with spherical topiaries and the views from this spur above the Loire are divine.

15 Best Things to Do in Tours (France):

  • Tours Cathedral
  • Musée des Beaux-Arts de Tours
  • Tours Botanical Garden
  • Le Vieux Tours
  • Musée du Compagnonnage
  • Hôtel Goüin
  • Halles de Tours
  • Jardin des Prébendes d'Oé
  • Église Saint-Julien de Tours
  • "Toue" River Cruises
  • Loire à Vélo
  • Guinguette sur Loire
  • Wine and Gastronmic Visits
  • Château de Villandry
  • Château d'Amboise

IMAGES

  1. Tours : visite guidée des Soieries Jean Roze

    soierie roze tours

  2. Prix spécial Région Dev'Up 2019 : Soieries Jean-Roze

    soierie roze tours

  3. La Maison Roze, dernière manufacture de soie de la ville de Tours

    soierie roze tours

  4. À quand un Musée Vivant de la Soie à Tours ?

    soierie roze tours

  5. La soierie Roze dans « On a retrouvé la Mémoire » samedi 16 mars

    soierie roze tours

  6. Indre-et-Loire : Arnaud Lebert, un tisseur de projets à la tête de la

    soierie roze tours

VIDEO

  1. Розы. Сиреневые оттенки и не только.... Purple Lodge , Minerva, Claude Brasseur, Midsummer

COMMENTS

  1. La Maison Roze, la plus ancienne manufacture de soie de France, tisse

    « N'en déplaise aux Lyonnais, on tisse de la soie à Tours depuis 1470 ! » rappelle, un brin taquin, Arnaud Lebert, l'actuel dirigeant de la Maison Roze, dernier témoin de ce riche passé.

  2. Soieries Jean Roze

    Soieries Jean Roze est une entreprise française de l'industrie du textile basée à Saint-Avertin, en Indre-et-Loire, près de Tours.Soieries Jean Roze est un atelier spécialisé dans la fabrication de soieries pour l'ameublement haut de gamme. C'est une des plus anciennes soieries de France encore en activité.. Les exportations représentent la majorité du chiffre d'affaires de l'entreprise.

  3. Tours : visite guidée des Soieries Jean Roze

    Immersion dans le patrimoine vivant de Touraine. On le sait peu : l'histoire de la soie n'a pas débuté à Lyon, mais à Tours et cela grâce à Louis XI qui déci...

  4. Accueil

    Soyeux depuis 1660, spécialiste du sur-mesure Remplissez le formulaire ci-dessous pour recevoir la présentation de nos collections. Contact 10 rue Frédéric Joliot Curie 37550 Saint-Avertin [email protected] +33 (0)2 47 28 02 15

  5. La soie en Touraine

    Les étoffes de soie de la cité ligérienne sont aussi récompensées aux expositions universelles de 1867 et 1878. A la fin du XIXe siècle, une importante exportation vers l'Angleterre et l'Amérique existe grâce aux 800 ouvriers soyeux qui s'activent à Tours. En septembre 1904 on inaugure l'hôtel de ville dessiné par Victor Laloux.

  6. Tours

    TOURS CITE DE LA SOIE a comme objectifs : - Faire connaître l'activité textile et soyeuse de Tours, passé, présent et avenir. - Permettre à chacun de découvrir le monde du tissage et des étoffes, au travers de conférences, ateliers, expositions, visites ou voyages. - Enrichir, conserver, mettre en valeur et montrer la riche collection ...

  7. MAISON ROZE tisse son savoir-faire depuis 360 ans

    Pouvez-vous nous parler de l'activité de votre entreprise en quelques mots ? Arnaud Lebert : Installée à Tours depuis sa création en 1660 par Jehan-Baptiste Roze, la maison ROZE tisse des étoffes d'ameublement et soieries : tentures, rideaux, fauteuils, coussins …. Une histoire qui dure et qui fait de nous la plus vieille manufacture de soie en France.

  8. Soieries Roze : une histoire tissée au fil des années

    C'est ainsi que la première manufacture royale de soie s'implante à Tours, en 1470. Près de deux siècles plus tard, en 1660, Jehan-Baptiste Roze crée son entreprise de soie, qui restera dans la famille sur douze générations. À cette époque, la moitié de la population tourangelle vit de cette activité. Perpétuer un savoir-faire ...

  9. La renaissance de la soie made in France

    Repreneur en 2018 des soieries Roze, fondées à Tours (Indre-et-Loire) en 1660, Arnaud Lebert va progressivement réintroduire l'élevage des vers à soie via la culture de mûriers blancs en ...

  10. Tours, Cité de la Soie

    L'association Tours, Cité de la Soie (TCS) a été créée en 1987 par une commission de la Jeune Chambre économique de Tours et les soyeux de Tours, Soieries Jean Roze, le Manach et Bassereau, pour faire connaître la soierie tourangelle, créer un musée conservatoire ... Jean-Michel Barbier en a été le premier Président.

  11. Depuis 1650, les Roze travaillent la soie dans le Centre

    Rescapée de l'industrie tourangelle de la soie, la société Jean Roze appartient à la même famille depuis 1650. Cette année là, Jehan-Baptiste Roze fonde sa soierie à Tours au plus fort de ...

  12. Soieries Jean Roze : une histoire tissée par 12 générations

    Peu d'entreprises peuvent se targuer d'avoir 360 ans. La Soierie Jean Roze, si ! Spécialisée dans la fabrication d'étoffes depuis 1660, cette affaire familiale, qui a vu 12 générations se succéder à sa tête, a été reprise en 2018 par Arnaud Lebert. Désireux d'ancrer ce fleuron français dans son temps, l'entrepreneur mise sur l'économie circulaire et les fibres végétales.

  13. Tours cité de la soie

    En 2020, la Maison Roze, soierie à #Tours célébrera son 360e anniversaire. Douze générations de Roze s'y sont succédées jusqu'en août 2018, date à laquelle Arnaud Lebert la reprend. Antoinette Roze...

  14. Une salle du musée retapissée de soierie Roze

    De la brocatelle orne les murs de la salle Louis XIII du musée des Beaux-Arts. Un retour aux sources pour la maison Roze, plus active à l'export qu'en France.

  15. À quand un Musée Vivant de la Soie à Tours ?

    Antoinette Roze est aussi la présidente de « Tours, Cité de la Soie » et elle se bat depuis plusieurs années pour que soit créé un Centre du Patrimoine Vivant de la soierie à Tours. Il reste encore actuellement du matériel capable de fonctionner, des personnes pouvant le faire fonctionner, le savoir faire et les bonnes volontés sont là !

  16. Rendez-vous d'exception à la Maison ROZE

    En 2020, la Maison Roze, soierie à #Tours célébrera son 360e anniversaire. Douze générations de Roze s'y sont succédées jusqu'en août 2018, date à... Rendez-vous d'exception à la Maison ROZE | En 2020, la Maison Roze, soierie à #Tours célébrera son 360e anniversaire.

  17. Tours Cité de la Soie : L'association

    L'association Tours, Cité de la Soie (TCS) a été créée en 1987 par la Jeune Chambre economique de Tours dans le but de favoriser la création dans cette ville d'un musée des Arts et Techniques de la soie. Elle a également comme objectifs : De faire connaître l'activité soyeuse de Tours passé, présente tout en se projetant dans l ...

  18. Tours, Capitale Historique De La Soie

    Les Lyonnais protestent et la fabrication est finalement déplacée à Tours où est implantée en 1470 la Première manufacture royale de soie. Louis XI invite des artisans italiens et grecs à s'installer à Tours, ville qui compte 8 000 métiers à tisser en 1546 et devient la capitale de la soie. Cette activité connaît son apogée sous ...

  19. Clair et Net: Soieries Jean Roze : volonté d'excellence

    Implantée près de Tours depuis le 17e siècle, l'entreprise Jean Roze est la plus ancienne entreprise de tissage de soie de France tourangelle encore en activité. Sa dirigeante actuelle incarne la douzième génération de Roze, et l'entreprise a accumulé pendant quatre siècles une très importante collection d'archives qu'elle est capable de reproduire sur demande.

  20. La soierie tourangelle fait parler...

    La soierie tourangelle fait parler d'elle grâce aux Soieries Jean Roze

  21. Saint-Avertin : l'art de vivre à la française dans les ateliers de

    C'est à Saint-Avertin que nous retrouvons Théophile MBAKA. Il nous emmène dans les ateliers des Soieries Jean Roze...360 ans d'existence pour cette maison s...

  22. 15 Best Things to Do in Tours (France)

    2. Musée des Beaux-Arts de Tours. Source: saiko3p / shutterstock. Musée des Beaux-Arts de Tours. The riches from Cardinal Richelieu's 17th-century campaign against the Huguenots and the art seized from abbeys during the Revolution all ended up at Tours' stellar museum of fine art.